SCAPPA VIA (L'Échappée Belle) 2/2

 

Il y a un temps pour se révolter. Et un temps ( manifeste ) pour se vivre. Dit-elle.

Dans "Notes à Tipasa" Albert Camus écrit : "Il y a un temps pour vivre et un temps pour témoigner de vivre." Et d'ajouter : "Il y a aussi un temps pour créer ( . . . ). Il me suffit de vivre de tout mon corps et de témoigner de tout mon cœur." Mais avant de témoigner il faut vivre. Prendre le temps de vivre. Ensuite? Se réinventer. Car inventer, dit-elle, c'est se ressouvenir. 

 

Nous voilà calés - à notre corps défendant - sur Radio Kiss Kiss depuis plus de cent bornes. Sur les ondes "Baby don't hurt me." en boucles infinies. "What is loooove" "Baby don't huurt me" "Don't huuurt me" "No more". Ça reste en tête comme les ritournelles de Kaamelott. Ah ça oui. Surtout quand on pense à Jim Carrey dodelinant de la bourriche . . . (La vidéo en question ici.) Où va-t-on ? Je ne sais pas. Mais on y va. Si parla di amore à tout va. Si parla. Si parla. Mais l'Amour ça ne se parle pas. Chuuuuut. N'offense pas la terre de tes mots galvaudés. Gale. 

 

Italia, Regione Veneto (Venezia) VERONA, Romeo e Giulietta (Les Amants Maudits, tu vois ?) C'est là qu'on va. Shakespeare, toussa toussa. ( . . . ) Insidieusement les dos se courbent sous le poids des icônes. Et tu sais quoi ? Juliette meurt à chaque fois . . . (Romeo anche. Ok.) Alors on commence comme ça ; par la fin. Et on s'refait l'histoire jusqu'à ce qu'elle finisse bien.

  

Vérone c'est comme le Port Salut (Hmm) ; tu ne peux pas te tromper, c'est écrit dessus : Città degli innamorati. C'est dit. (Hein? Quoi? La cité des macchabées, c'est ça? Mdr) Let's see. Ma Vero chérie. Mon immense, ma singulière. Si au creux de ton ventre le mythe résiste à l'ère.

Un vélo passe. Deux amoureux s'embrassent. L'Amour t'sais, ça pique les yeux et ça fait mal au nez.

 

"Est-ce que tu m'aimeras encore, lorsque l'Amour sera mort ?"

( . . . ) Qu'il n'en restera que des cendres.

Lorsque le train train nous aura roulé sur le corps.

 

Je pense aux "Amours Jaunes" d'Edouard Joachim (dit Tristan Corbière).

 

 Est-ce que tu y crois, Belle ? Amore vincerà ?

 

Mais il manque quelqu'un sur la photo, pardonnez-moi. Celui ou Celle. Qui vous arrachera.

À la foule. Comme on s'arrache d'un vieux bouge à demi mort.

 

Comme cette femme au manteau rouge. Et cet(te) autre qui la dévore.

 

Il fait noir, enfant, voleur d’étincelles !

Il n’est plus de nuits, il n’est plus de jours ;

Dors . . . en attendant venir toutes celles

Qui disaient : Jamais ! Qui disaient : Toujours !

 

Entends-tu leurs pas ? . . . Ils ne sont pas lourds :

Oh ! les pieds légers ! – l’Amour a des ailes . . .

Il fait noir, enfant, voleur d’étincelles !

 

Entends-tu leurs voix ? . . . Les caveaux sont sourds.

Dors : Il pèse peu, ton faix d’immortelles :

Ils ne viendront pas, tes amis les ours,

Jeter leur pavé sur tes demoiselles . . .

 

Il fait noir, enfant, voleur d’étincelles !

 

Tu auras le temps - Petite - de t'attacher. De te détacher.

( . . . ) De prendre ta place pour le Grand Théâtre.

(Le Touriste est moins nombreux, au coeur de l'Automne. À Brive-la-Gaillarde comme à Vérone. Mais sans êtres les villes ne sont que de non-lieux. Où tout se passe sans qu'il n'y ait d'yeux. Pour en garder une trace. ( . . . ) Alors va pour le Grand Théâtre. Puisque nous en sommes.)

(Tu auras) Le temps de te vouer à d'autres saints.

De planter d'autres croix, dans le jardin (d'Eden).

Et de trouver ailleurs ta lumière. (Que sous les projecteurs.)

Sous le pont, l'Adige, l'Adige. (Qui a dit "La digue du cul" ? Huh? Rires) Et puis Ju.

What's your plan, dear?

( Petit vélo sous les remparts. Il va bientôt être trop tard. )

Pictoresque cité, combien de femmes éplorées, ont gonflé tes rives ?

Combien d'ombres au tableau ? D'éraflures dans le ciel ?

Avant d'atteindre le Point P de l'Amour Fou, qui fait patiner dans les graves les pousse-cailloux.

 

( . . . ) Nul fondement, nul évènement, ni passé ni futur ne pourraient servir de leçon, peu importe ! Voilà qu'aujourd'hui, on s'absente, si jeune, déjà mort quelque part, toujours prêt à renaître, étranger en sa propre fiction. Saurait-on faire autre chose que bricoler notre mémoire ? ( . . . ) Tu en fais des perles que je porte pour la joie qui est rare. Une plage sur un caillou, des vers luisants dans le bois ( . . . ) On ne voudra plus chercher ailleurs ( . . . ) On ne pourra plus s'imaginer vivre sans. ( . . . ) Et ce peu nous attache. ( . . . )

 

Sous le Ponte Scaligero coure la Scène. L'insouciance aux pieds plumes.

Marcher sur l'eau. S'élancer dans le vide. Tout est possible. Encore.

C'est comme. Faire du vélo en roues libres. Comme. Se jeter dans l'oxymore.

L'Amour à nu pour des queues d'hirondelle.

 ( Les coeurs anhèlent sous la pendule. )

Et repousser ce moment (vain), où l'instant capitule.

Pousser du bout des pieds la nuit, et ses draps roses

À l'Aube de Demain.

Car déjà le soleil se meurt en créant l'Hier.

 Solo ieri 

La paupière mi-close et l'Adige en contrebas. Je pense (encore) à Fernando Pessoa.

 

Elle est douce comme de l'eau qui court
La sensation de n'être pas quelqu'un. 

 

I'm nobody! Who are you? 
Are you nobody, too? 
Then there's a pair of us - don't tell! 
They'd banish us, you know! 

 

How dreary to be somebody! 
How public like a frog 
To tell one's name the livelong day 
To an admiring bog!*


Sous une porte cochère, Juliette passe. 

Et dans ma besace, Giraudoux pèse une tonne.

Juliette au Pays des Hommes

Je pense à Caillebotte (Le peintre; pas celui qui a inventé les dalles en plastique qu'on attaque au kärcher par -18° pour y stocker les patates surgelées du père Mc Cain. // "Caillebotis" oui oui.) À ses "Hommes à la Fenêtre". Souvent je n'ose pas les prendre. Et plus souvent encore je le regrette . . . Mais ils sont toujours présents, dans ce Décor qui n'est au fond que prétexte. À arpenter la ville. À regarder les Hommes. Immobiles qui avancent. Se jettent. Courent. Attrapent au vol une idée ou un désir. Un devoir ou un travers. Peu leur importe qu'on les arrêtent. Qu'on les figent. Qu'on les fenêtre. ( . . . ) Qu'on les contienne tout entier dans une citation de Christian Bobin "Quand je vis, la vie me manque. Je la vois passer à la fenêtre, elle tourne vers moi sa tête, mais je n'entends pas ce qu'elle dit ( . . . )[Alors] j'écris pour l'entendre."

 

Fenêtre sur cour. L'homme à la main lourde m'est inconnu.

Ainsi que la foule de palpe-nichons qui lui succède devant mon objectif.

Got me with the magical boob? he said.

 

J'aurais sans doute du lui dire que je n'étais pas photographe. (Rire) ( . . . ) Et que lustrer les pare-chocs à Juju lui apporterait plus de miasmes que de donzelles énamourées. Mais on n'a pas eu le temps de se raconter nos vies... Concours de kits. Mâte l'engin qui se dresse au front des adventistes ! Paluches. Mamelles. À la bonne franquette ! Roméo pose pour une touriste.

Il y a du monde au balcon. Literally.

En italien on dit : "Avere un bel davanzale." Si.

( Quant à la fertilité, Mesdames, comment dire . . . )

Roméo: Il se rit des plaies, celui qui n'a jamais reçu de blessures! (Juliette paraît à une fenêtre) Mais doucement! Quelle lumière jaillit par cette fenêtre? (...) 

Lève-toi, belle aurore, et tue la lune (...).

LOVE IS IN THE AIR

À notre tour d'être extraits de la foule. Et un autre INCONNU de nous tirer le portrait.

Nous sommes français, cela sonne "Romantique" à ses esgourdes.

Et Dieu sait qu'en Rome Antique, l'Italien s'y connait.

 

"Dis-moi qui sont ces gens". Je ne le pourrai pas. Celui-ci restera à jamais crédité d'un "Unkown" au générique . . . Mais nous l'appèlerons Charles -voulez-vous- en hommage à Baudelaire.

 

 "( . . . ) Peupler sa solitude ( . . . ) Ce que les hommes nomment amour est bien petit, bien restreint et bien faible, comparé à cette ineffable orgie, à cette sainte prostitution de l’âme qui se donne tout entière, poésie et charité, à l’imprévu qui se montre, à l’inconnu qui passe." C. Baudelaire

Aujourd'hui encore, Juliette regarde par la fenêtre.

Il est tôt ce matin. La plage est déserte.

Quelque part dans la foule, je n'ai d'yeux que pour toi. 

Georges Perec a abandonné au milieu de cette rue dont j'ai oublié le nom, son petit vélo à guidon chromé. ( . . . ) J'ai quant à moi oublié qu'on ne pouvait pas créer plus de 200 cadres (Textes + Photos) dans un seul et même article et m'en vais donc jouer la voyeuse aphone.

Musée des Affranchis
Elle pense à son futur mariage. 

Sortez les Violons.

 

Il n'est pas une place colorée de ce bas monde qui ne me rappelle immanquablement Wrocław (Breslau), les "l" mouillés, le Hussard. L'Oder. Les "Mała piwo" et autres "Bez cebuli" ! Proszę.

 

Voyage en Absurdie. ( . . . ) Les regards parlent plus que le costume. J'attends de pieds fermes Perceval et Karadoc en boulotant une pizza aux artichauds . . . La Piazza Bra, peuplée de Gladiateurs et de badauds, prend des airs de je-ne-sais-quoi où qu'est-ce que. Un gamin, haut comme trois quetsches, écoute du NTM en se tricotant des dreads avec le nez. Jeune titan bipolaire paré pour la guerre. ( . . . ) La démesure bien huilée, la masse crie "Ave". "Les deux pieds dans l'Arène" scande-t-il comme on tamboure in. Et la Reine, qu'en pense-t-elle?

 

Arena di Verona

Ici on avait jadis droit de vie ou de mort.

Aujourd'hui les morts ne nous demandent plus notre avis.

TRIOLISME MANIFESTE. Je vous regarde. Elle te regarde. Tu me regardes. 

 

Mais t'enflamme pas bonhomme. Je regarde la vie avec mes groles. Point. À la ligne. Et toi ? Pourquoi tu me regardes ? Dans ses yeux à elle tu existes déjà. ( . . . ) Tu le connais ? Le gars avec le cuir et le chino rose poudré ? Pas que je sache. Mais dans une autre vie qui sait. Il était peut-être gladiateur en Ritalie et moi, serpent à moustache. Tu viens, chérie ? ( . . . )

 

Les jardins suspendus de Babylone.

  SOTTO IL CIEL0.

( . . . ) Et par-dessus les Hommes.

 

      I remember

      The bulwark, the southern run.

      The sky we owned from the rooftops.                         

      And your smile.                                                                                            (AaRON)

 

 

LA NUIT DANSE ENTRE DEUX PONTS.

TROIS PETITS TOURS ET PUIS.

S'EN VONT.

 

Escale sans jacasse ou presque. En écho à cette autre fois. Où le Sud Tyrol nous avait tendu les bras. (Avant de les refermer.) Plaisance. Crémone. Manerbio. Brescia. ( . . . ) Une autre vie déjà. Sans paroles parce que nos yeux. S'usent à trop se taire. Et nous n'avons que trop parlé ! Alors quelques clichés au  de notre Automne. Témoins sans paroles de ce que l'oeil a oublié. 

 

«  Une ombre l’accompagne, telle une rumeur qui dévale sur le socle des rues cardinales, et sans qu’elle le sache, la détermine pour toujours. »

 

 

Ici. Le petit homme à la chevelure de lierre. Et son ami imaginaire.

 

Et Soudain. Revenir. (Sur nos pas.) 

La plaine du Pô. Ses oniriques promesses . . .

Mais Turin nous crache à la yeule. Sa brume épaisse.

Bientôt la neige et le froid. 

 

 

Red lights and thick frost are clothing all the land

 

 

 Je pense à NEBBIA de Daniele Finzi Pasca. Il y a 7 ans déjà, au Théâtre des Célestins. 

 

 

"Certains brouillards sont épais et profonds comme des ivresses. On y perd ses points de repère; il n'y reste que les réverbères, références blafardes, îlots de lumière. L'horizon fond et il semble que la mer commence à deux pas. Dans la plaine du Pô, le brouillard est une aventure. (...) Dans le brouillard, on ne se perd pas, on fait seulement des rencontres étranges, qui ne sont ni des mirages ni des hallucinations. Dans le brouillard, la réalité se transforme en rêve, ou peut-être qu'elle ne se transforme pas, mais elle se présente à nous comme si c'était le cas.

Tout devient possible. Du balcon de ma grand-mère, j'ai cru entrevoir des chameaux, des déserts et des sirènes, mon oncle qui revenait de la guerre, et puis un cirque. Et puis je me suis vu, moi, devenu grand, filer à toute allure dans une voiture rouge. Nous sommes faits de la substance même de nos rêves. J'étais au théâtre quand je l'ai entendu dire la première fois, et puis j'ai compris pourquoi certains aiment tant le brouillard et d'autres ne savent même pas ce que signifie se perdre pour mieux se trouver.

Nous sommes faits de la substance même de nos rêves. Mon voyage commence dans une mer distante de trois cents kilomètres, mais qui, avec le brouillard, vient lécher la clôture du jardin. Il commence par une fille belle comme ma voisine, par des cagoulards qui reviennent ivres du carnaval, par une femme nue que tous jurent avoir vu passer à dos d'éléphant. Il commence exactement là où chaque rêve semble finir. (...)" 

 

 

© Matin-ROUGE 2016

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Commentaires: 13
  • #1

    O (mardi, 20 décembre 2016 10:23)

    Ma toute belle, quel ravissement ! Ti amo vero <3 <3 <3

  • #2

    Tio (mercredi, 21 décembre 2016 03:08)

    Extraordinaire qualité photographique.

  • #3

    patou (mercredi, 21 décembre 2016 07:09)

    Exact, la "love is in the air" étant la plus faible et de loin.
    La seule non signée marou.
    Celle des 2 gamines s'accrochant est un chef d'oeuvre.

  • #4

    Elleiram (mercredi, 21 décembre 2016 08:31)

    If not now when? Mademoiselle Marou vous posez les questions essentielles. Et vous y répondez de sublime manière. Ma photo préférée est celle du petit homme à la chevelure de lierre et son ami imaginaire. Vous êtes plus photographe que vous ne le pensez. Et avec ça poète ! Bravo

  • #5

    ben (mercredi, 21 décembre 2016 15:16)

    Lee iles borromees, verone , ca va on se refuse rien :p

  • #6

    Duij (jeudi, 22 décembre 2016 09:04)

    Oh qu'ils sont beaux les amoureux ! Et c'est vrai qu'elles sont belles tes photos ; je ne suis pas le seul à le penser. J'espère que d'autres le découvriront bientôt quitte à me retrouver au chômage. :p

  • #7

    Evelyne (samedi, 24 décembre 2016 17:45)

    Bonjour aurore, je découvre avec bonheur votre échappée merveilleuse. Quel cadeau vous nous faîtes de partager avec nous tant de beautés ! Merci infiniment. Je vous souhaite ainsi qu'à vos proches de féeriques fêtes de fin d'année. Evelyne

  • #8

    Passe-Passe (samedi, 31 décembre 2016 00:28)

    J'aime tout. Je veux tes mots dans le béton et tes photos dans mon salon.

  • #9

    Le Marginal Magnifique (samedi, 31 décembre 2016 00:37)

    Belle invitation au voyage.

  • #10

    Marie (samedi, 31 décembre 2016 15:08)

    Encore en vadrouille ? J'envie ta liberté chérie, vilaine. Je passe mon temps à t'espérer.

  • #11

    GERONIMO (vendredi, 06 janvier 2017 14:14)

    Les blogs de voyage on connait et certaines destinations phares sont tellement vues revues et rerevues qu'on a l'impression de connaitre par coeur des endroits où on a jamais mis les pieds. Mais là c'est autre chose. Verone est pour moi une étrangère mais cest comme si je la connaissais intimement. C'est comme ces étrangers qu'on rencontre en chemin et à qui on raconte nos vies. Je suis pas plus avancé maintenant en tant que touriste mais j'ai beaucoup apprécié la balade, idem pour le lac de garde. Manque peut-être quelques histoires vous qui maitrisez la plume ? en tous cas et comme l'on dit vos lecteurs avant moi vos photos sont magnifiques.

  • #12

    GERONIMO (vendredi, 06 janvier 2017 14:28)

    Je ne sais pas si mon message est très clair on pourrait peut-être discuter par mail ?

  • #13

    Matin-Rouge (dimanche, 08 janvier 2017 21:47)


    Eh ! Vous êtes bien nombreux par ici ! Merci.

    @O: A-t-on jamais aimé pour de faux ? :p
    Un ravissement de tous les instants, c'est vrai . . . Comme le dit si bien Chesterton : “Le monde ne mourra jamais par manque de merveilles mais uniquement par manque d’émerveillement.”

    @Tio: UUUUU. Very Moche.
    @patou. Je rajoute un U pour la forme. Merci à Toi. ; - )

    @Elleiram: Merci à vous, Marielle ! If not now, when? La Vie se charge (malheureusement) de répondre à notre place. // Cette photo a aussi ma préférence. Pas tant dans sa réalisation mais plus pour pour ce qu'elle m'évoque. // Je ne suis pas plus poète(sse) que photographe mais accepte avec plaisir le compliment. : - )

    @ben: "On" prend juste la Vie comme elle vient. : - )

    @Duij: Qui va m'exposer, si tu te retrouves au chômage ? :p
    Blague à part : On m'a récemment parlé d'un projet qui devrait t'emballer. ; - )

    @Evelyne: Le bonheur, dit-on, c'est de le partager. : - )
    Merci pour vos voeux. En espérant que vous ayez passé de joyeuses fêtes de fin d'année.

    @Passe-Passe: "J'aime tout." Même le céleri rave ? (O_o)
    Pour ce qui est du béton (et du salon) disons que je passe passe mon tour. :p

    @LMM: Faut que j'arrête d'inviter du monde ; ça va me coûter cher !^^

    @Marie: Allons donc ! J'ai la bourlingue modeste..
    Et tu sais ce qu'on dit : "Qui vit en espérant . . ." ^_^

    @GERONIMO: Pourquoi tu cries ? :p
    Merci pour l'attention renouvelée et les moult commentaires. Votre message est clair puisque partagé. Il en va des villes comme des êtres, je ne cesse de le répéter.
    Je vous laisse m'écrire via le formulaire de contact, si vous le désirez.

    ---

    Bien à Vous,
    Matin-Rouge

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